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Cinq ans après le meurtre de son fils pour 25 €, un père abat le coupable présumé dans un parc public

« Il n’a jamais pu faire son deuil »

Selon son avocat, Guglielmo Palozzi est un homme détruit depuis 2020. Incapable d’accepter la perte de son fils et les lenteurs de la justice, il a vécu ces cinq années dans un chagrin permanent. Ce geste, selon la défense, est celui d’un père anéanti qui n’a trouvé aucune autre issue.

L’Italie divisée

L’affaire secoue immédiatement l’opinion publique italienne. Les réseaux sociaux s’enflamment. Une partie de la population voit en Guglielmo un père abandonné par le système judiciaire, poussé à l’extrême par l’injustice.

D’autres rappellent que, malgré la douleur, la loi ne peut tolérer que chacun rende justice lui-même. Un meurtre reste un meurtre.

Une question dérangeante

Ce fait divers relance un débat sensible : la vengeance peut-elle être justifiée par la douleur ?
Jusqu’où la souffrance d’un parent peut-elle être tolérée avant qu’elle ne devienne destructrice ?

👉 Partagez cette histoire si vous pensez que la justice devrait parfois aussi entendre la douleur.

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