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Alerte Santé : 8 Médicaments Courants Qui Peuvent Provoquer une Démence Grave

3. Corticostéroïdes : attention à l’usage prolongé

Utilisés contre les inflammations ou les maladies auto-immunes, les corticostéroïdes (comme la prednisone ou la fluticasone) peuvent provoquer anxiété, confusion et dépression s’ils sont pris à long terme.

Mécanisme : ils perturbent le niveau de cortisol, l’hormone du stress, avec des répercussions sur la mémoire.

4. Benzodiazépines : une menace silencieuse pour les neurones

Prescrites pour l’anxiété ou l’insomnie, les benzodiazépines (comme l’alprazolam ou le diazépam) doublent le risque de développer la maladie d’Alzheimer en usage prolongé.

Elles provoquent également une dépendance importante et des troubles cognitifs (difficulté de concentration, lenteur mentale…).

5. Amphétamines : entre amélioration temporaire et dommages durables

Utilisées pour traiter le TDAH, les amphétamines peuvent détériorer la mémoire à long terme et provoquer une dépendance. Elles doivent être strictement encadrées par un professionnel de santé.

6. Antihistaminiques de première génération : le danger des vieux remèdes

Des médicaments comme la diphénhydramine, utilisés contre les allergies ou le mal des transports, ont un fort effet anticholinergique, nuisible à la mémoire.

Alternative conseillée : antihistaminiques de 2e génération comme la cétirizine.

7. Antidépresseurs tricycliques : un risque pour les plus âgés

Des médicaments tels que l’amitriptyline peuvent perturber la fonction cognitive en raison de leurs effets anticholinergiques. Ce risque est particulièrement élevé chez les seniors.

Alternatives modernes : les ISRS (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine), mieux tolérés.

8. Statines : entre bénéfice cardiovasculaire et doutes cognitifs

Utilisées pour abaisser le cholestérol, les statines comme la simvastatine peuvent provoquer des troubles de la mémoire chez certains patients. Les études restent partagées : certaines montrent un risque accru, d’autres un effet protecteur.

🧠 Conclusion : Vigilance et prévention

L’automédication ou l’usage prolongé de certains traitements sans surveillance médicale peut sérieusement compromettre vos fonctions cognitives.
Toujours discuter avec votre médecin des effets secondaires possibles, surtout si vous remarquez des troubles de mémoire, de concentration ou de confusion.
Envisager des solutions non médicamenteuses, comme la thérapie comportementale ou l’ajustement du mode de vie, peut aussi préserver votre santé mentale sur le long terme.

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