Sir Richard Thompson, ancien médecin personnel de la Reine et président du Royal College of Physicians, va encore plus loin. Selon lui, c’est le sucre, et non le gras ou le cholestérol, qui est le véritable ennemi de notre santé. La surconsommation de sucre favorise l’obésité, le diabète de type 2, l’inflammation chronique et les maladies cardiovasculaires. Il appelle à une révision complète des recommandations nutritionnelles officielles, et à une focalisation accrue sur la réduction des sucres ajoutés dans l’alimentation moderne.
Face à ces constats, nombreux sont ceux qui se tournent vers des solutions naturelles pour prendre soin de leur cœur. Parmi les alternatives les plus intéressantes figurent le jus d’herbe de blé et les avocats. L’herbe de blé, riche en chlorophylle, en enzymes et en antioxydants, agit comme un puissant détoxifiant. Elle aide à nettoyer le foie, à améliorer la digestion, à renforcer le système immunitaire, et surtout, à réduire le cholestérol LDL (le « mauvais » cholestérol). Une cuillère à soupe par jour, prise à jeun, peut déjà produire des effets visibles au bout de quelques semaines.
Les avocats, quant à eux, sont des alliés précieux pour la santé cardiovasculaire. Riches en acides gras mono-insaturés, en fibres, en potassium et en antioxydants, ils contribuent à améliorer le profil lipidique sanguin. Une étude menée par l’université de Pennsylvanie a montré que les personnes qui consommaient un avocat par jour voyaient leur taux de LDL chuter de 14 mg/dL, contre seulement 7 à 8 mg/dL pour celles suivant un régime pauvre en graisses sans avocat. Cela montre que tous les gras ne se valent pas, et qu’il est possible de manger des aliments gras tout en améliorant sa santé.
En conclusion, il apparaît évident que les médicaments contre le cholestérol, bien qu’efficaces dans certains cas spécifiques, ne doivent pas être la première ligne de défense contre les maladies cardiovasculaires. Les risques qu’ils engendrent, tant sur le plan neurologique qu’hormonal ou métabolique, sont trop importants pour être négligés. Au lieu de miser uniquement sur des traitements chimiques, il serait judicieux de promouvoir une approche plus holistique de la santé, fondée sur l’alimentation, l’exercice, le bien-être mental et la prévention.
Il ne s’agit pas de rejeter en bloc les avancées de la médecine moderne, mais de faire preuve de discernement. Trop souvent, les traitements sont prescrits de manière systématique, sans prise en compte des spécificités de chaque individu. Une approche personnalisée, centrée sur l’éducation à la santé, permettrait à chacun de devenir acteur de son bien-être et de faire des choix éclairés, loin de la pression des lobbies pharmaceutiques.
Le corps humain est une machine complexe, mais il dispose d’une formidable capacité d’autorégulation. Il suffit parfois de lui offrir les bonnes conditions pour qu’il retrouve naturellement son équilibre. Manger sainement, bouger quotidiennement, réduire le stress et se reconnecter à la nature sont des gestes simples, accessibles à tous, et pourtant si puissants. Dans cette optique, les aliments comme l’herbe de blé et les avocats ne sont pas de simples compléments : ce sont de véritables remèdes naturels, sans danger et profondément efficaces.
